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 Quand les paroles font mouches, les menaces fusent

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Lizzy

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Nombre de messages : 465
Localisation : Içi et là... Partout et nul part à la fois
Date d'inscription : 08/11/2007

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MessageSujet: Quand les paroles font mouches, les menaces fusent   Quand les paroles font mouches, les menaces fusent Icon_minitimeMer 12 Déc - 1:27

Natalya Golynn

Citation :
Pauvre enfant ..


"Brave petite. Oui, tu es une bonne fillette, tu sais? Tu rayonnes quand tu parles, cette touche de fraîcheur ingénue, ce rire cristallin, cette absence de manières .. C'est si rare. Oui, vraiment. La pureté incarnée. Je t'aime beaucoup, tu sais. Je t'appellerai Chiffon, comme une petite poupée, fragile, douce, qu'on a envie de serrer contre soi.



Serrer, fort, si fort. Avec tendresse, hein. Je caresse tes cheveux. Doux, si doux, et ton visage angélique. Les traits si fins. Tes petites lèvres toutes pleines de vie. Tu es adorable, Chiffon.


Puis, je serre plus fort. Avec passion. Oui, ça fait mal, parfois, la passion. Mais au fond, c'est bon, hein, je t'en donne ma parole. Tu le regretteras pas, je vais t'aimer de toutes mes forces.



Encore un peu plus fort. Juste un peu. Là, ça devient un peu de l'étreinte forcée, cela dit. Tu commences à te débattre, hein? Oui, c'est normal, c'est l'angoisse. Le fond de claustrophobie qui sommeille en chacun de nous. L'instinct, bas, animal. Mais bon, ça passe, suffit d'attendre. Je t'aime, tu sais, Chiffon. Je ne te ferai jamais de bobo, moi, hein.



A peine plus fort.. Là ça commence à faire mal. Logique, le petit corps malingre se compresse comme un rien. On le broierai presque, pour peu que l'on n'y prête pas suffisament garde. Mais ce serait dommage, et un peu triste aussi, car moi je t'aime bien, tu sais, Chiffon. Alors je vais faire TRES attention, Chiffon.


Sauf que là, tu te débats violemment. Je ne peux donc plus te garder tout contre moi. Je suis triste, tu vois? Mais je comprends. Alors je te relâche.


Tu me traites de folle? Tu me cries dessus? Tu me cracherai presque au visage, hein? Oui, c'est normal. Mais, moi, je ne veux pas que tu t'en ailles. Non, je ne veux pas.


Alors mes mains glissent à ma ceinture. Mes doigts courrent le long de ma ceinture, une fine ceinture en tissu, toute pourrie, mais bien pratique. On peut y enficher plein de choses utiles, tu sais. Comme par exemple ce sur quoi ma main se referme, juste là, maintenant : la mâchette de l'Arkham. Production de la maison. Un travail d'orfèvre, tu verrais ça, Chiffon. Je tire sa lame au clair. Là, tu as peur. Et comme tu n'es pas conne, tu te dis que ça vaut pas le coup de rester là.


Tu sais quoi?


Tu as raison de fuir.


Mais moi ça ne me PLAIT PAS DU TOUT.


Non, pas du tout. Alors, comme je suis bien dressée à tuer, mon coup est vif, tu vois, petite fille? Et je tranche, d'un coup de poignet sec, au niveau de ton mollet.


Et là, c'est moche, Chiffon. Ta petite jambe potelée est sectionnée. Ca pisse le sang. C'est dégueulasse. Tu as mal, Chiffon? Ton pied tranché gît sur le sol, au milieu d'une auréole de sang noir qui commence de s'étendre.


Et moi, je te regarde, Chiffon. Je ris, un peu, et je pleure, aussi, car tu as mal.


Tu rampes, Chiffon? Tu pleures? Tu ne peux plus courir? Mais moi, je ne VEUX PAS QUE TU T'EN AILLES, petite traînée. Alors, cette fois, c'est ton bras que je tranche. Le droit. Ca t'apprendra. Et ça fait un mal de chien. Tes nerfs sont à vif, Chiffon. Le sang gicle, pulse, par ton moignon sectionné. Couplé au sang que tu perds par ta jambe, tu commences à te sentir partir. MAIS MOI JE NE VEUX PAS, Chiffon. Tu restes éveillée. C'EST UN ORDRE, petite pute.


Je t'aide, regarde. Je t'envoie des coups de talon, Chiffon. Dans ton visage, que tu ne saurais protégé de ton petit bras valide. Je frappe, je cogne, je t'éclate ta petite gueule. Je te pète le nez, Chiffon, tu sens comme ça fait mal? Tu cries? Tu as mal? Et tes dents, tu sens comme c'est fragile, une dent? Et bien, je cogne dessus avec le manche en bois de ma petite machette, Chiffon. Ca pisse le sang. Ta petite tunique est imbibée en de larges auréoles écarlates. Des larmes de sang courrent sur tout ton visage, de ton nez, de ta bouche meurtrie, bleuie, des plaies ouvertes, comme tes petites arcades, Chiffon, et tes pommettes, aussi.


Tu pleures. Oui, tu as mal. Ca fait très mal, hein. Pauvre Chiffon, je pleure pour toi. Et là tu commences à ressentir la douleur de ta jambe. L'adrénaline ne fait plus effet, hein? Purée, comme ça fait MAL. MAL! MAL, tu entends, petite pute? Tu souffres, hein? La douleur irradie ton moignon de mollet, aïe, tu geins. Tu couines, tu implores, tu appelles ta mère. MAIS TA MERE EST MORTE, CONNASSE.


Et puis aussi ton bras, tranché au dessus du coude, ne l'oublions pas. Il fait très mal, lui aussi. Un peu comme quand on se retourne un ongle, crac. Tous les ongles d'une main. En même temps. Cent fois. Mille fois. Tu préférerais ne plus avoir de bras que de continuer à supporter cette souffrance infecte. De la sueur sur ton petit front se mêle au sang qui poisse tes cheveux. Et ton petit nez, brisé. Le visage c'est particulièrement innervé. Tu souffres, Chiffon? Et ta bouche, plus jamais tu ne couperas la viande de tes petites incisives, broyées. Brisées. Cassées. Pas cassées net, hein, en biais, par morceaux, tu sens la pulpe mises à vif? Le nerf qui te lance à chaque fois que la salive passe sur tes dents pétées? Ca fait TRES MAL, hein, pauvre, pauvre Chiffon.



Je pleure avec toi. J'



J'ai pitié de toi, alors je lève mon bras, la machette au dessus de ma tête.


Puis, je l'abats ... sur ton petit ventre blanc. Tu cries, encore. Le ventre c'est plein de viscères, et là, en plus, j'ai bien du te péter une ou deux côtes.


Pas grave, je relève mon bras, tu vois, je m'en vais!


Et non, je l'abats de nouveau. Toujours sur ton petit ventre, plus très blanc, un peu tout rouge. Et encore une fois, je lève, j'abats, je lève, j'abats, je lève, j'abats ... JE TE HACHE MENU PETITE PUTE!


Pas encore tout à fait morte, je viens bouffer à même tes entrailles. Je sens la vie en toi alors que je te dévore. La douleur s'estompe, disparaît derrière le voile de l'inconscience. Et là, Chiffon, je prends mon pied à te défoncer la gueule ... aaah .. Chiffon ... Brave petite ... Que ton foie a un gout sucré ... Et tes petits yeux .. Tout crevés .. AHaahAHahaHAaH!


AhaHAahAHahahAHA!


ENFANT DE TRUIE! AHaAHahAH!
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